Bouchons en liège naturel pour vins tranquilles

FAQ
FAQS. Que s' ha de tenir en compte al embotellar el vi. Bontap

Qu’est qu’il faut tenir en compte pour décider quel bouchon acheter ?

  1. Le format de la bouteille : Il conditionne la longueur du bouchon selon le format du goulot. Les formats “Bordeaux” i ‘Alsace’ admettent les longueurs standard : 44-49 mm mais aussi 39 et 54 mm. Le format “Bourgogne” admet 39 i 44 mm et quelques modèles aussi en 49 mm. Il est important que l’emplacement du bouchon soit dans la zone du Ø interior de 18.5 +-0.4 mm ce que marca la norme Cétie.
  2. Le type de vin : Il détermine la longueur du bouchon, le Ø et la qualité du liège. La mesure standard de base est le bouchon en liège naturel de 44×24 mm. Le Ø de 25 mm proportionne un peu plus de régularité parmi les bouteilles à la dégustation. Comme schéma orientatif, on peut considérer l’approche suivante : 39×24 mm naturel colmaté pour vins de table bon marché et de consommation rapide (<12 mois), 44×24 i 44×25 mm naturel i naturel colmaté pour toutes sortes de vin, 49×24 i 49×25 mm naturel et naturel colmaté pour vins d’ Élevage et Réserve, 54×24 et 54×25 mm naturel pour des Grands Crus et Vins Exceptionnels
  3. Le prix du vin:  Le bouchon, en plus d’assurer la conservation et l’évolution correcte du vin dans la bouteille, est une partie importante de l’image du produit dans le rituel de la dégustation. L’aspect visuel du bouchon accompagne la perception du produit, c’est-à-dire, de la catégorie du vin. C’est pour cela que dans chaque qualité du liège, on offre des niveaux de sélection visuelle appropriés à chaque catégorie de vin.

De quoi doit-on tenir compte avant de commencer à mettre en bouteille ?

  • Quelques heures avant leur utilisation, porter les cartons de bouchons dans le local de la mise en bouteilles pour les adapter à la température ambiante.
  • Les bouchons ont reçu un traitement de surface approprié, donc il faut s’en servir directement pour la mise en bouteille.
  • Il faut vérifier l’état des mâchoires de la tête, le centrage de la bouteille, le niveau de remplissage et surtout contrôler régulièrement l’introduction correcte du bouchon dans la bouteille.

Après la mise en bouteille, s’il reste une poche ouverte de bouchons qui n’ont pas été utilisés, il faut la refermer, faire quelques petits trous pour éviter les condensations, et les garder dans la boîte en carton, tout en suivant les recommandations de stockage. Avant leur réutilisation, Il est conseillé de sentir à l’intérieur de la poche, pour s’assurer qu’il n’y ait aucune odeur bizarre. Si au contraire, vous sentez une odeur d’humidité ou de n’importe quelle autre odeur, il est préférable de ne pas les utiliser.

Comment doit-on stocker les bouchons en liège?

Les bouchons en liège arrivent emballés dans des boîtes en carton, dans des poches plastique alimentaire, sous-vide et dans un milieu stérile SO2.

Les conditions recommandées de stockage son les suivantes:

  • Un local aéré et sans odeur ni produits chimiques
  • Température ambiante :15 / 25 ºC.
  • Humidité ambiante :50 / 70 % HR.
  • Ne pas exposer les boîtes en carton au soleil directement, ni à travers une fenêtre.
  • Les boîtes en carton ne doivent pas être exposées ni en contact avec des sols mouillés ou humides.

Qu'est-ce que le liège?

Le liège est un produit naturel, c’est l’écorce du chêne-liège (Quercus Suber Ln).

Comment est l'arbre du liège?

Le chêne-liège grandit lentement et uniformément. Il atteint habituellement une hauteur de 10 à 12 mètres et un diamètre de 30 à 100 cm. Sa vie productive dure de 100 à 150 ans. Le premier prévèlement des écorces s’effectue lorsque l’arbre atteint l’âge de 25 ans, et ensuite par des écorçages avec des intervalles tous les 9 à 10 ans. C’est seulement à partir du troisième écorçage, c’est-à-dire autour de 42 et 45 ans, que nous obtiendrons le liège idéal pour fabriquer les bouchons. à peu près 74% de la production mondiale de liège, se trouve sur la Péninsule Ibérique.

Comment réaliser le procédé d’extraction du liège ?

L’extraction de l’écorce du liège s’effectue toujours en juillet et août, quand l’arbre est en sève. C’est un procédé traditionnel, qui requiert une bonne habilité et de l’expérience pour ne pas abîmer l’arbre et assurer ainsi la continuité de sa vie productive. On utilise une hache spéciale, même si, depuis quelques années on a introduit des moyens mécaniques pour faciliter le travail des leveurs de liège, tout en restant quand même, un travail manuel. Après avoir laissées les écorces reposées pendant quelques mois en plein air, on les met à bouillir une première fois pour les aplatir et les séparer selon leur épaisseur et leurs différentes utilisations (bouchons, rondelles, granulés, …). Ces plaques seront empilées et on les laissera reposer un minimum de 6 mois pour stabiliser le liège, avant de les envoyer dans les usines qui les transformeront en différents produits d’usage courant.

Bontap pela del suro

Quelles sont les caractéristiques de la matière première « liège » ?

Le liège est un tissu végétal, formé par un groupement de petites cellules scellées d’une forme, structure et disposition très particulières, que la nature a élaboré avec un procédé évolutif de spécialisation, pendant des millions d’années. Les cellules de sa structure alvéolaire unique, sont disposées très régulièrement et unies entre elles. On en trouve un nombre très élevé par unité et par volume (à peu près 40 millions par cm3). Les parois de ces cellules sont formées, par différentes couches, celle du milieu étant la plus grande et significative. Cette couche moyenne est à son tour formée par des couches alternes de subérine et de cire, qui donnent au liège son élasticité si spéciale. La cavité intérieure de la cellule contient un gaz dimilaire en comosition à l’air, mais sans CO2. Cet air ou gaz occupe 90% du volume du liège. C’est grâce à cette structure et composition si spéciales que le liège a été qualifié par les scientifiques, comme une « merveille de la nature ». Toutes les propriétés physiques du liège se basent directement ou indirectement dans sa structure cellulaire unique. Entre les plus importantes : légèreté, élasticité, résilience, imperméabilité aux liquides et gaz, résistance à l’usure, durabilité, chimiquement inerte, etc…

Comment se développe l’industrie du liège ?

Au XVIIéme siècle Dom Pérignon initie l’usage du liège pour boucher les bouteilles de vin. La région catalane de l’Empordà fût le berceau de la manufacture de ces bouchons. Au XXéme siècle, conjointement avec la région voisine de La Selva, elles développent la prospère industrie qui, encore aujourd’hui, fournit aux plus prestigieux producteurs de vin partout dans le monde.

Comment est fabriqué un bouchon cylindrique de liège naturel ?

  1. Extraction de l’écorce de liège de l’arbre. On doit le faire en été.
  2. Classification des écorces par épaisseur, format et qualité.
  3. Les écorces sélectionnées pour la fabrication des bouchons en liège, sont immergées dans l’eau bouillante pour, par la suite, les aplatir sous une presse.
  4. Une fois aplatie, les écorces sont équarries pour obtenir des formes régulières.
  5. Deuxième sélection des planches, selon l’épaisseur et la qualité.
  6. Repos en plein air pour la stabilisation du liège.
  7. Le deuxième procédé de bouillir les planches sera effectué à partir du printemps suivant.
  8. Découpage des planches en tranches de la largeur qui correspondra à la longueur désirée pour le bouchon.
  9. Découpage des tranches à l’aide d’une gouge. On obtient les bouchons en état brut.
  10. Séparation des déchets. Ils seront destinés à la production des granulés.
  11. Premiers contrôles de la qualité technique du lot de bouchons bruts.
  12. Première sélection des bouchons par la qualité visuelle.
  13. Rectification des têtes pour leur donner leur juste longueur.
  14. Polissage du cylindre pour ajuster le diamètre.
  15. Processus d’élimination de poussière, lavage et hygiénisation des bouchons.
  16. Deuxième contrôle de qualité technique du lot.
  17. Division du lot en différents niveaux, sélectionnés par une vision électronique.
  18. Tri final, visuel, des bouchons. Elimination de défauts.
  19. Stockage.
  20. Marquage des bouchons, selon les spécifications du client.
  21. Conditionnement hygrométrique des bouchons marqués.
  22. Application du traitement de surface (paraffine – silicone).
  23. Dernier contrôle de qualité, réalisé sur les bouchons finis de chaque commande.
  24. Conditionnement dans des poches de 1000 bouchons, sous-vide avec une hygiénisation de sécurité et du SO2.
  25. Emballage en cartons d’exportation, palettisés.

Qu’est-ce que la qualité concertée ?

Notre processus de production est structuré en base à l’obtention d’un produit régulier et de confiance. Les points d’assurément de qualité proportionnent le contrôle nécessaire pendant tout le processus. Les standards appliqués sont des normes ISO/UNE en vigueur. On met à disposition du client, la fiche technique du produit avec ses paramètres, que nous nous engageons à respecter à chaque livraison. Des éventuelles demandes particulières.
Eventuals demandes particulars poden
peuvent être convenues d’un commun acord.

Partie très importante : Le dernier contrôle est réalisé sur les bouchons finis de chaque commande près àmettre sous emballage. Le code BTP-… marqué sur chaque bouchon assure la traçabilité du produit.

Le client reçoit à chaque expédition la feuille d’analyse de contrôle de ses bouchons.

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